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Pourquoi le développement personnel est lui aussi condamné à disparaître.

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Après les dieux, les coachs — et après les coachs ? Terrien en quête d’étoiles, accroche-toi à ton vaisseau spatial, on va grok cette vibe avec un humour cosmique bien piquant ! Depuis des lustres, on nous serine : « Fais plaisir à Dieu ! » Prier, jeûner, obéir, et attendre le jackpot… au paradis, après avoir rendu l’âme. Sauf qu’un jour, on a dit : « Nope, trop long ! » Exit le prêtre, bonjour le coach galactique ! Fini l’au-delà, place à l’épanouissement intersidéral ! Mais, attends, c’est le même pitch, juste relooké : T’es pas encore à la hauteur, mon pote. Ce que la religion appelait « péché », le développement personnel le reboote en : Croyances limitantes (genre, t’es un bug dans la matrice), Blessures d’enfance (merci, Tonton Gérard et ses blagues nulles), Karma en retard de livraison, Blocages internes (comme un embouteillage dans ton chakra), Travail sur l’ombre (ouais, ta face B que t’as pas encore streamée). La promesse ? Taf sur toi, et reviens pour la saison 2 ! Y’a ...