Lorsque tu n'en peux plus...
“Ce n’est pas toi qui portes la Vie. C’est la Vie qui te porte. Si tu la laisses faire.”
Il y a des jours où tout semble trop.
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Le corps fatigue ou crie.
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Les relations s’éloignent ou explosent.
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Le travail se vide de sens ou manque.
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L’argent ne suit pas.
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L’âme se replie.
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L’élan se perd.
Et tu as beau chercher, lutter, ruser ou supplier…Tout reste en désordre.
Et si tu essayais autre chose ?
Pas un effort de plus. Pas une stratégie de plus. Pas une volonté de plus. Mais un abandon.
Pas une fuite. Pas une défaite. Un Oui. Un vrai.
Étape 1 – Dépose le fardeau
Tu n’es pas venu ici pour porter le monde sur tes épaules. Ce que tu vis n’a pas besoin d’être compris tout de suite. Il a juste besoin d’être porté autrement.
Pose-toi.
Respire.
Et à l’intérieur, dis simplement :
“Je suis porté. Je laisse la Vie me montrer.”
C’est ça, le lâcher prise. Ce n’est pas ne rien faire. C’est faire avec le mouvement, pas contre.
Étape 2 – Trouve le mouvement fluide
Quand on dépose le “je dois”, un autre rythme apparaît. Le bon moment. Le bon geste. Le bon silence.
Souvent très petit :
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Un pas dans la nature.
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Une parole sincère.
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Un geste vers quelqu’un.
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Une caresse vers soi.
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Un rangement symbolique.
Ce sont des actes d’accord. Des gestes de Oui. Ils ouvrent la voie.
Étape 3 – Laisser la Vie respirer en soi
Quand tout semble figé, ce n’est pas forcément bloqué. C’est peut-être juste trop occupé par toi.
Tes peurs, tes doutes, ton passé, tes désirs d’en sortir. Et si tu cessais de tout contrôler ? Pas pour t’effacer.Mais pour te laisser traverser.
La Vie sait mieux que toi.
Elle a des plans plus vastes.
Et une intelligence naturelle bien plus douce que tes efforts.
Étape 4 – L’humilité qui redonne puissance
Reconnaître qu’on ne sait pas. Qu’on ne peut pas tout. Et que ce n’est pas grave. C’est ça, le Oui profond. Il ne te diminue pas. Il t’élargit.
Tu n’as pas besoin de mériter la Lumière.
Elle cherche juste une fêlure pour entrer.
Alors fêle-toi. Pas avec violence.Avec confiance.
Étape 5 – Laisser agir ce qui agit
Ce n’est pas toi qui guéris. Pas toi qui crées. Pas toi qui redresses. Tu participes, mais tu n’es pas la source.
Alors pourquoi lutter seul ?
Pourquoi vouloir tout réparer à partir de l’endroit d’où vient la fracture ?
Dépose ton “moi qui veut” sur l’autel du “Moi qui sait”. Et regarde ce qui s’ouvre.
En guise de souffle final
Quand tout devient compliqué, ne cherche pas la sortie. Cherche l’accord.
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L’accord avec ce que tu vis.
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L’accord avec ce que tu ressens.
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L’accord avec cette Intelligence sous-jacente que tu n’as pas inventée.
Et redis, même si c’est à voix basse :
“Je ne suis pas seul. Je suis porté. J’ouvre les bras.”
Le reste viendra. Comme un vent léger dans le dos. Un fruit mûr qui tombe. Un miracle sans fanfare.
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