Ho'oponopono;ni un mantra, ni une prière, ni une technique



Une révolution silencieuse, au-delà des techniques, des idoles et des mises à jour spirituelles


La quasi-totalité des personnes qui pensent “connaître” Ho’oponopono croient qu’il s’agit d’une technique.

Une astuce spirituelle pour régler les problèmes de la vie.

Un outil doux pour faire disparaître les inconforts.


Beaucoup récitent Je t’aime, pardon, désolé, merci pendant des mois, voire des années…

Sans changement.

Alors ils croient mal pratiquer.

Ils cherchent une “mise à jour”.

De nouveaux outils.

Une version plus profonde.

Un nettoyage plus efficace.


Mais voici la bonne nouvelle — et la claque libératrice :

99,99 % de ce qu’on trouve sur Ho’oponopono en ligne est une impasse.
Une douce anesthésie mentale.
Une boucle d’endormissement sous couvert de lumière.

Non pas parce que Ho’oponopono est inférieur au bouddhisme, au christianisme ou à l’islam.

Mais parce que :

Le vrai Ho’oponopono n’a rien à vendre.
Il ne promet rien.
Il pointe vers une seule chose :
Tu es le “Je”.
Tu viens du Vide.
Et tu es déjà dans la Lumière
car tu es Lumière

Il n’y a rien à réparer.

Seulement à se souvenir.


L'état Zéro est déjà là

Zéro n’est pas un but.

Ni une vibration rare.

Ni un état à atteindre.

Zéro, c’est ce qui reste quand le commentaire s’arrête.

Quand tu arrêtes de courir après autre chose.

Quand tu n’as plus besoin de devenir.


Tu n’as rien à atteindre.

Tu es déjà dedans.


Le grand oubli humain

La poussière n’a pas besoin de savoir qui elle est.

Une étoile ne cherche pas sa mission de vie.

Le chat n’a pas besoin de mantra.

Seuls les humains ont oublié.

Et même cela… fait partie du jeu.


L’ego n’est pas l’ennemi

On t’a dit que l’ego est un obstacle.

Un poison.

Un voleur de lumière.

Mais l’ego est un outil.

Ce n’est pas lui le problème —

c’est la confusion.


Le vrai “Je” n’est pas l’ego,

mais l’espace silencieux qui l’utilise.

Sans lutte.

Sans masque.


Le “Je” qui ne s’agenouille pas

Et ce Je-là,

ce Je nu, vibrant, vivant —

il ne s’agenouille pas.

Pas devant des maîtres.

Pas devant des systèmes.

Pas devant des promesses de bonheur ou d’abondance.

Pas même devant Ho’oponopono.

Il ne supplie pas.

Il ne fait pas de troc.

Il ne joue pas le jeu de la quête.


Il se souvient.

Il respire.

Il sait.

Pas mentalement.

Vibratoirement.


Le pouvoir sans pose

Le “Je” ne cherche pas à briller.

Il éclaire.

Il n’impose pas.

Il agit.

Son pouvoir n’est pas de réussir.

Ni de manifester des rêves.

Ni de contrôler la vie.

Son pouvoir est de ne plus mentir.

De ne plus dire oui quand c’est non.

De ne plus s’incliner devant l’image, la peur ou l’attente.


Le dernier mensonge est celui que tu t’es raconté

Tu veux savoir où est passé ton pouvoir ?

Regarde le dernier endroit où tu t’es trahi.

Le dernier “oui” qui était un “non”.

Le dernier silence pour éviter le conflit.

Le dernier masque pour être aimé.

C’est là que tu t’es débranché.


Mais la bonne nouvelle ?

Il n’y a rien à réparer.

Rien à atteindre.

Juste un pas.

Une vérité.

Un retour.


L’essence ne vend rien


Le “Je” ne récite pas.

Il ne vend pas.

Il ne s’impose pas.


Il marche.

Il brûle.

Il respire.


L’essence n’a pas besoin d’être améliorée.

Elle a juste besoin d’être vivante.

Tu n’as pas besoin de mantra.

Tu n’as pas besoin de nouvelles techniques.

Tu n’as pas besoin d’un autre stage.

Tu as besoin de silence.

De présence.

Et d’un pas…

qui te remet dans ton axe.

Aucun témoin nécessaire.

Aucune croyance requise.

Aucun mot à réciter.


Juste ce feu calme,

ce feu nu,

qui n’a jamais cessé d’être là.


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